Don Quichotte, 20 août 2015, 304 pages
Présentation de l’éditeur :
1992. Lampedusa est encore une petite île tranquille et aucun mur de barbelés ne court le long des enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla. Virgil, le Moldave, Chanchal, le Bangladais, et Assan, le Somalien, sont des pionniers. Bientôt, des millions de désespérés prendront d’assaut les routes qu’ils sont en train d’ouvrir.
Arrivés en France, vivants mais endettés et sans papiers, les trois clandestins vont tout partager, les marchands de sommeil et les négriers, les drames et les petits bonheurs.
Mon avis :
Une lecture qui commençait bien : des analyses intéressantes sur le sujet des réfugiés, les conditions de leur arrivée en Europe, leurs conditions de vie. Et même si les histoires de chacun débutent quand ils se font pisser dessus, baste, j’ai continué ma lecture.
Et puis est arrivé le moment « Disney » tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil. Et là, le récit s’est enlisé façon conte de fées. Dommage.
Une lecture qui reste intéressante toutefois pour les éclairage qu’elle propose sur le phénomène migratoire.
L’image que je retiendrai :
Celle de Virgil et Assan mangeant sur une poutrelle d’un immeuble façon gratte-ciel américain.
Tu es le premier avis mitigé que je lis je crois. Si je te comprends bien, tu lui reproches un certain angélisme ?
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Oui, sur la fin, c’est un peu trop beau pour être vrai.
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Un instant que nous ne devrions pas connaître
Bises sous le soleil
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Je ne le souhaite à personne.
Bises
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Si on apprend des choses… Mais comme toi je crains le Disney side.
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Jusqu’au milieu du roman, ça va. Et puis ça devient trop beau pour être vrai.
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un sujet sensible qui m’intéresse mais un peu de réticence pour l’instant….
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Il se lit plutôt bien et n’est pas trop long.
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Je n’ai pas du tout eu les mêmes réticences que toi, j’en ai même fait un coup de cœur…
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J’avais lu des avis enthousiaste, dont le tien, qui m’avait donnés envie de le découvrir.
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J’espère, du coup, que tu n’as pas été trop déçue de suivre mon avis..
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aucune envie de le lire, tu me confortes
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Qui sait, il pourrait te plaire.
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Il ne me semble pas l’avoir noté, quelques réticence par rapport au sujet ?
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Un sujet pas facile, en effet.
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Je suis en train de le lire, je comprends ton point de vue, cette solidarité est un peu improbable mais, au moins, « adoucit » un peu le côté obscur du roman.
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C’est pour cela que la première partie m’a plu, car plus proche de la réalité.
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non pas Disney pour moi ( tu es dure:), il y a des mains tendues mais sans exagération comme dans la vie
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Je suis généreuse, mais pas au point de loger des sans-abris dans mon appartement tout de même.
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Je ne suis pas encore arrivée jusque là…
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Dommage, ça partait bien en effet
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Le propos était intéressant, en effet.
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Que Disney reste dans les dessins animés 🙂
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Le mélange des genres ne m’a pas plu.
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Une lectrice avertie en vaut deux 🙂
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Exactement !
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Il est vrai que le début a un petit côté magique ( culture étrangère) qui se perd ensuite dans la civilisation européenne. J’avoue que la petite famille française est assez exceptionnelle et incroyable. Mais cela fait du bien d’entendre aussi l’effet magique de la bonté.
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Je n’ai pas adhéré à ce mélange des genres.
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j’envisageais de le lire, mais manifestement, il peut y avoir déception, donc pas d’impératif. Et puis pour être honnête depuis septembre, j’ai l’impression de ne lire que de la RL et je me lasse un peu, voyant des tonnes de livres dans ma PAL qui me font de l’oeil !
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Il faut savoir suivre son instinct, aussi.
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Le côté Disney me refroidit un peu.
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